Dans l’article précédent, je t’expliquais comment rester en bonne santé en voyage en Asie du sud-est. Cependant, il est impossible de tout contrôler et les pépins peuvent arriver…Dans ces pays ne possédant pas un système public de santé aussi développé qu’en France, qui, il faut bien comprendre, est une exception au niveau mondial, il est selon moi indispensable d’avoir au minimum une assurance assistance. Une assurance santé internationale me semble plus que conseillée surtout si tu pars pour une longue durée. Dans cet article tu trouveras les ressources nécessaires pour bien préparer ta protection santé avant de partir.

Pour cet article, plutôt que de réinventer la roue, ou de voler le travail des autres, je vais te renvoyer vers deux articles cumulant l’essentiel du propos que je souhaite te partager :

Tout d’abord, je te renvoie vers cet excellent article/comparatif réalisé par tourdumondiste.com* sur les assurances voyages. Tu y trouveras tous les paramètres à prendre en compte pour bien choisir ton assurance ainsi qu’un comparatif. De manière générale, je te conseille de consulter ce site riche d’informations utiles pour préparer tes futurs voyages.

Ensuite, un second article, écrit par Philippe Nieuwbourg, donnant un éclairage différent, plus adapté à un style de vie digital nomad auquel je peux m’identifier, ça se passe ici*.

Maintenant, parlons un peu de mon cas personnel. Je suis actuellement plus de 3/4 du temps à l’étranger. J’ai souscrit un contrat chez l’assureur APRIL*. Cela me coûte 139€/mois soit 1668€ à l’année pour une couverture mondiale. Je ne vais pas te faire le détail, mais pour l’essentiel elle comprend mes frais de santé au 1er euro (sans passer par la sécurité sociale qui normalement ne me prend plus en charge car je n’ai pas d’activité salarié en France et y passe moins de 6 mois par an), soutien psychologique, assistance rapatriement, responsabilité civile vie privée, stages et locative, assurance bagages et assistance juridique. Une des spécificités m’ayant fait pencher pour celle-ci est que je conserve la couverture même en cas de retour temporaire en France de moins de 3 mois.

Avec cet article et le précédent, tu connais maintenant l’essentiel de ma stratégie « santé » à l’étranger. Jusqu’ici, je n’ai pas eu besoin de faire appel à mon assurance…je n’ai donc pas de retour d’expérience à te partager sur ce point.

Je n’ai qu’une seule expérience de soins à te partager. Avant mon départ en Malaisie, je me suis fait enlever un gros grain de beauté dans le dos et la cicatrisation a pris plus de temps que prévu, ce qui a rendu impossible le fait d’enlever les fils des points de suture avant de partir…c’est donc à Kuala Lumpur en Malaisie que j’ai dû le faire. Ma petite enquête sur les internets m’a amené au Twin Towers Medical Center* une clinique privée située au tours Petronas. Sans Rendez-vous, j’ai été reçu en moins de 15 min par un docteur qui après avoir vérifié que la cicatrisation était suffisante, m’a envoyé vers une infirmière pour effectuer l’intervention. Tout compris cela m’a coûté l’équivalent de 13€ ! Et il se sera écoulé moins d’une demi-heure entre l’entrée et la sortie de la clinique. What else ? Pour ce faible montant je n’ai pas perdu de temps à solliciter mon assurance.
Dans ces grandes mégalopoles comme Kuala Lumpur et Bangkok par exemple, il existe de nombreux établissements privés, aux standards occidentaux, à la main d’œuvres très qualifiées mais nettement moins cher qu’en Europe, il existe donc également un tourisme santé pour y venir faire des interventions qui seront bien moins onéreuses qu’en France, en particulier en ce qui concerne l’optique et le dentaire…

*ce ne sont pas des liens sponsorisés.

Les autres articles « pratique » c’est par là. Les épisodes « voyage » de la saison 2, c’est par ici et ceux de la saison 1 c’est par là. Si tu veux en savoir plus, pose tes questions dans les commentaires du blog ou de la page Facebook. Aime et partage si tu as appris quelques choses !
Pour être au courant des derniers articles, tu peux inscrire ton mail pour être prévenu des nouveaux article, suivre la page Facebook ou le compte Twitter ou encore sur Steemit.