S01E22 – Elephant Waterfall – En route vers Hoi An – Dalat – Vietnam
Jour 50 – 01/03/2017
En fin de matinée, j’enfourche le scoot’, direction l’Elephant Waterfall, 30km au sud-ouest de Dalat. La route, large et goudronné récemment, serpente en descente dans les montagnes, just cruising ! j’adore ça ! Les montagnes font place à des collines couvertes d’arbustes aux fleurs blanches qui habillent tous le paysage, aussi bien visuellement qu’olfactivement: ce sont des caféiers !
Arrivée à l’Elephant Waterfall, je paie les 30000 dongs de l’entrée et les 5000 dongs pour le parking.
Oh ! ça, c’est de la belle cascade. Pas évident d’avoir une vue dégagée entre les chinois qui se « selfient » et le gros européen qui reste en plein milieu en pourrissant la vue…
En vidéo :
Au retour, je mange dans un boui-boui où tu fais toi-même tes nems, pas mal. Par contre, je ne sais pas ce qui se passe, mais quelques heures après, je sens que la digestion est difficile, je suis tout gazeux…
Jour 52
Cette nuit je n’ai pratiquement pas dormi, il s’est passé un truc au niveau de la digestion…mais ça va bien.
Aujourd’hui, je quitte Dalat pour aller à Hoi An en passant par Nha Trang et Da Nang.
Je range tranquille mes affaires, check out, 5 nuits en chambre individuelle, 2 jours de scoot’, 1kg de linge lavé, et le bus pour Nha Trang pour 1470000 dongs, pas mal. Le bus passe me prendre directement à l’hôtel, ça c’est top !
En route, je vérifie les dispos de train pour Da Nang, ouch ! il reste pas mal de places assises, mais pas en couchette…je tente de refaire une résa, qui encore une fois, bug au paiement…bon je verrai sur place, j’espère que ça le fera.
À l’arrivée sur Nha Dang, deux kilomètres avant la gare routière, le bus s’arrête faire le plein. Je me rends compte que je suis à 200 m de la gare ferroviaire. Je demande au chauffeur si je peux descendre ici. OK, ça ne pose pas de problème, cool ! Plus j’arrive tôt à la gare, plus j’augmente mes chances d’avoir une place en couchette. Au guichet, je montre mon smartphone, je vois que l’hôtesse galère. Il y a un truc qui cloche, elle ne retrouve pas la réservation non payée…elle appelle sa supérieure qui prend mon téléphone et m’oriente vers un autre guichet et me propose de la refaire en direct, avec la classe et le prix que j’avais envisagé…356000 dongs, ouf ! je souffle.
Mon compartiment est déjà occupé par 4 jeunes. Je fais un beau « Hello » histoire de briser la glace directe. Ils me font une place, et me proposent de jouer au Uno avec eux…bon aller, c’est parti. En même temps que les cartes sont distribuées, je fais une recherche en speed pour me remémorer les règles. Le jeu n’est pas compliqué, mais ça fait longtemps que je n’y ai pas joué.
Nous arrêtons après deux ou trois parties. La faim se fait sentir. Je leur demande s’il y a un wagon resto, « Yes, last coach !», j’accompagne deux des nanas, et nous voilà partis à traverser tout le train. Il est composé de 4 classes : banquette dure, banquette douce, couchette dure, couchette douce (traduction littérale de l’anglais). Moi je suis en classe « couchette dure » constituée de cabine de six avec une épaisseur de matelas toute relative. La classe au dessus c’est des cabines de 4 avec des matelas bien épais. Les deux classes avec couchette sont climatisées. Ensuite en dessous, on a la classe avec les sièges confort, avec la clim et deux grands écrans dans chaque rame. La dernière classe banquette dure, littéralement, puisque pas de cousin, à même les lattes de bois, pas de clim, juste des ventilateurs.
Avec l’aide de mes deux traductrices, je commande une soupe de nouilles. Pas top, rien à voir avec le service des trains thaïlandais, ou même indiens. Vers 22h je coupe les feux.
Si tu veux en savoir plus, pose tes questions dans les commentaires du blog ou de la page Facebook. Aime et partage !
Pour être au courant des derniers articles, tu peux suivre la page Facebook. Tu peux aussi t’abonner à la newsletter hebdo (en haut, colonne de droite).